Regardons la réalité en face : le mois de novembre 2010 a été un mois faste pour PlanetGong , qui peut désormais s’enorgueillir d’avoir dévoyé le sieur Béroalde de Fuzz afin de lui confier une entreprise titanesque : la chronique de la fantastique compilation Rubble, et dont l’intégralité des chroniques déjà publiées est disponible dans ce dossier PlanetGong.
-
Nouveautés :
Du côté des nouveautés albums, ce mois a vu apparaître les chroniques de quelques belles sorties de groupes confirmés : The Bees (Every Step’s a Yes), The Fresh & Onlys (Play it Strange), Outrageous Cherry (Seemingly Solid Reality), et un beau premier album venu de Suède : Black Bug (Black Bug). A noter également, en single cette fois, la réédition du 12’’ de Rayon Beach (The Memory Teeth) chez HoZac.
Nous avons aussi mis en ligne quelques articles sur des albums plus discutables, et sur lesquels les commentaires furent également plus nombreux : le premier album de Mugstar (Sun, Broken), celui des Wavves (King of the Beach), le deuxième de Nobunny (First Blood) et la première chronique (et selon toute probabilité, la dernière) d’un album de Rock City Morgue (The Boy Who Cried Werewolf).
-
Oldies :
Dans cette section, nous avons chroniqué ce mois-ci deux albums relativement récents et trop peu connus : The Dolly Rocker Movement (A Purple Journey into the mod machine), ainsi que le deuxième album du premier groupe de Ty Segall, les Epsilons (Kill ’em Deader). PlanetGong a fait un peu de rangement et a ressorti de ses caisses de vinyles l’excellent album de Sam Gopal (Sam Gopal), et a aussi retrouvé la plus récente compilation Forever Changing (The Golden Age of Elektra Records – 1963-1973).
-
Les singles du dimanche :
La bientôt légendaire tradition des singles du dimanche se poursuit dans la semi-indifférence générale, malgré son intérêt indéniable et l’excellent choix de disques qui est fait. Novembre a ainsi vu la publication d’articles consacrés à des 45 tours d’Electric 6 (Danger ! High Voltage), d’Antoine (Qu’est-ce qui ne tourne pas rond chez moi ?), de Mr. David Viner (Where The Posies Grow), et enfin, du dernier grand single des Strokes (Juicebox).
That’s all folks !