(Vertigo 2004)
Après avoir quitté les Libertines à l’aube de leur premier album car, selon lui, “ils manquaient d’ambition”, Johnny Borrell a décidé de satisfaire son ego en devenant singer/songwriter de Razorlight, groupe au potentiel fantastique (et au nom discutable).
L’album en lui-même contient quelques pépites comme le très new wave “Stumble and fall” ou les mélodies imparables de “Rock’n’roll lies” et surtout “Golden touch”. L’album contient quelques étrangetés aussi comme ce “In the city” proche de la version de “Gloria” de Patti Smith et même une chanson dédiée à son ami Pete Doherty (tête brûlée pensante des Libertines), “Don’t go back to Dalston”…
Le gros point fort de ce disque est néanmoins les textes, poésie urbaine dans la veine de Lou Reed, clins d’oeil avisés aux auditeurs aux grandes oreilles… Borrell se veut le Dylan de notre génération, il en a le potentiel : Razorlight, grande révélation 2004
Tracklisting :
1. Leave Me Alone
2. Rock ‘N Roll Lies *
3. Vice *
4. Up All Night
5. Which Way Is Out
6. Rip It Up
7. Dalston
8. Golden Touch *
9. Stumble and Fall *
10. Get It and Go
11. In the City *
12. Hang By Hang By
13. To the Sea
Vidéos :
“Golden Touch”