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LE BLACK METAL EXPLIQUÉ AUX MODS
À l’époque, ils faisaient peur à tout le monde.
On aurait tort de prendre Venom à la légère.
1981. Venom venait donc en premier. À défaut d’avoir fixé à proprement parler les standards musicaux du black-metal, ils ont inventé le terme, et défini ce qui compte plus que tout : un Théâtre.
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LE BLACK METAL EXPLIQUÉ AUX MODS
Ce n’est pas vraiment un hasard si Darkthrone et Nirvana sont contemporains l’un de l’autre.
Seattle, Oslo. Au début, Fenriz (batteur) et Nocturno Culto (guitariste) faisaient comme tous les adultes en crise de l’époque, ils jouaient du « Death », c’est-à-dire du Métal de la Mort. C’étaient de bons musiciens, ils donnaient de temps en temps des concerts. Et puis, ils ont eu l’intuition.
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DYLANOLOGIE
Bringing it all back home : un titre d’album en forme de programme, voire de manifeste. Il ne s’agit en toute modestie que de rapatrier, de se réapproprier l’héritage musical national. Le blues est bluesy et souffre du mal du pays (homesick) et Dylan ne laissera à personne d’autre le soin de le ramener à la maison.
SOMMAIRE :
- FRANKIE – Panic Attack
- SLEAFORD MODS – West End Girls
- DOSS – The Mullets Are Moving
- CHESTER REMINGTON – Almost Dead
- GUS GUS – Unfinished Symphony
- KING GIZZARD & THE WIZARD LIZARD – The Silver Cord
- BJORK & ROSALIA – Oral
- DION LUNADON – Nikki
- EGYPTIAN BLUE – Nylon Wire
- ALIEN NOSE JOB – Act Different
- TY SEGALL – My Room
- GROS COEUR – Dax
- DELIA DERBYSHIRE – Doctor Who

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